Harcelements Barbare dans la Marine
Publié : 23 janv. 2019 16:37
10 octobre 2016 : La Marine Nationale m'affecte en tant "qu'élèves officiers" "plongeur au sein du Groupe des Plongeurs Démineurs" (GPD) pour mettre en application mes diplômes d'encadrement de plongeurs.
Après ma formation de cadre au sein du groupe, mon contrat sera renouvelé avec avis très favorable. Un problème existe, c'est le refus de certains membres du groupe d'accepter qu'un volontaire puisse avoir à les encadrer, cela se traduira par des faits violents de harcèlement, comme l'obligation de sauter dans la Manche de la hauteur des quais (7 mètres) ou des propos également violents, homophobes.
Le 07 août 2017 : Lors du premier contact avec le nouveau commandement, je suis informé qu'il n'était pas question de me mettre sur mon emploi de préparateur physique à la plongée, au motif qu'il ne souhaitait "pas de pédé dans son groupe". Deux jours après, suite à un guet-apens, j'ai été victime de viol visant à m'humilier. L'administratif comme le médical ne me prodigueront aucun soin ou suivi, suite à cette agression bien au contraire, les insultes homophobes pleuvront quotidiennement. Une semaine après, le 14 août 2017, j'ai été déplacé du groupe et de mon emploi, de façon illicite jusqu'au 22/12/2017, suivi d'une permission jusqu'au 6 janvier 2018.
Durant cette période (du 14/08 au 22/12/2017), j'ai passé 11 jours au sein de mon groupe d'affectation qui se sont révélés un enfer : sauter du haut des quais de 7 mètres dans la mer glacée, insultes d'une violence insupportable et le travail qui m'est confié est volontairement humiliant du type de mesurer la longueur des cordages.
Le 8 janvier 2018 : Pour fêter mon retour à temps plein au sein du groupe de mon affectation officielle, le commandant m'ordonne de sauter du haut des quais dans la manche. On est à marée basse, en hiver : Hauteur 8 mètres température air 5°C, à 8 h du matin, je me suis vu mourir. Suite à cette mise en danger volontaire, je suis mis à la disposition des sous-officiers pour des tâches subalternes. Il m'est à nouveau demandé de démissionner. Le 10 janvier 2018 : Je refuserai vivement de sauter à nouveau du haut des quais ; Refus qui créera une altercation et un mal-être que le médecin du GPD voudra relier à mon agression du 09/08/2017 pour exonérer le groupe de toute responsabilité. C'est un médecin de SOS médecins qui prendra le 18 janvier 2018, la décision de me mettre en congés de maladie pour "Syndrome dépressif réactionnel", jusqu'au 11/02/2018.
Le congé de maladie pris sur la base n'empêchera pas les violences des menaces et insultes proférées. Pour ma reprise les atteintes à ma dignité s'accentuent et créent des clashes répétitifs, jusqu'au 19 février 2018 où elles provoqueront ma tentative de suicide sur le temps et le lieu de travail qui sera suivie d'une plainte auprès de la Gendarmerie pour harcèlement.
Pour dissimuler la responsabilité du groupe, le médecin refusera de faire la déclaration d'imputabilité. Le Commandant demande mon débarquement comme sanction disciplinaire (23 février 2018). Le médecin prépare un dossier pour une commission de réforme sans m'en informer. Alors qu' "Aucune mesure ne peut être prise contre un militaire parce qu'il a engagé une action en justice visant à faire cesser des faits de harcèlement". La mesure de débarquement échouera, mais la commission de réforme, demandée, donnera satisfaction aux harceleurs. Les textes applicables sur les congés de maladie dans le statut des élèves officiers ne permettaient pas cette décision.
Lors de la dernière consultation avec le médecin, je n'avais pas manqué d'enregistrer l'entretien : il y reconnait les faits de harcèlement, que j'en étais responsable par mon refus de démissionner, mais surtout : Alors que je l'informais de signaler, par les médias, s'il y avait lieu, le harcèlement dont j'avais fait l'objet, ce médecin m'a clairement répondu : "je vous engage à ne pas faire ça parce que je pense que c'est mettre en danger votre sécurité. Il y a des gens qui pourraient vous le faire payer".
On se trouve dans une situation, où après avoir dû subir des faits de harcèlement, violents, tant moral que de type sexiste, j'ai eu à subir une décision de réforme agressive de par sa qualification, et de par la violation des règles en la matière. Dans cette volonté de dissimuler des faits de harcèlement ayant mis ma vie en danger, directement et indirectement, s'y ajoute le refus implicite d'une demande de protection fonctionnelle par l'armée.
Après ma formation de cadre au sein du groupe, mon contrat sera renouvelé avec avis très favorable. Un problème existe, c'est le refus de certains membres du groupe d'accepter qu'un volontaire puisse avoir à les encadrer, cela se traduira par des faits violents de harcèlement, comme l'obligation de sauter dans la Manche de la hauteur des quais (7 mètres) ou des propos également violents, homophobes.
Le 07 août 2017 : Lors du premier contact avec le nouveau commandement, je suis informé qu'il n'était pas question de me mettre sur mon emploi de préparateur physique à la plongée, au motif qu'il ne souhaitait "pas de pédé dans son groupe". Deux jours après, suite à un guet-apens, j'ai été victime de viol visant à m'humilier. L'administratif comme le médical ne me prodigueront aucun soin ou suivi, suite à cette agression bien au contraire, les insultes homophobes pleuvront quotidiennement. Une semaine après, le 14 août 2017, j'ai été déplacé du groupe et de mon emploi, de façon illicite jusqu'au 22/12/2017, suivi d'une permission jusqu'au 6 janvier 2018.
Durant cette période (du 14/08 au 22/12/2017), j'ai passé 11 jours au sein de mon groupe d'affectation qui se sont révélés un enfer : sauter du haut des quais de 7 mètres dans la mer glacée, insultes d'une violence insupportable et le travail qui m'est confié est volontairement humiliant du type de mesurer la longueur des cordages.
Le 8 janvier 2018 : Pour fêter mon retour à temps plein au sein du groupe de mon affectation officielle, le commandant m'ordonne de sauter du haut des quais dans la manche. On est à marée basse, en hiver : Hauteur 8 mètres température air 5°C, à 8 h du matin, je me suis vu mourir. Suite à cette mise en danger volontaire, je suis mis à la disposition des sous-officiers pour des tâches subalternes. Il m'est à nouveau demandé de démissionner. Le 10 janvier 2018 : Je refuserai vivement de sauter à nouveau du haut des quais ; Refus qui créera une altercation et un mal-être que le médecin du GPD voudra relier à mon agression du 09/08/2017 pour exonérer le groupe de toute responsabilité. C'est un médecin de SOS médecins qui prendra le 18 janvier 2018, la décision de me mettre en congés de maladie pour "Syndrome dépressif réactionnel", jusqu'au 11/02/2018.
Le congé de maladie pris sur la base n'empêchera pas les violences des menaces et insultes proférées. Pour ma reprise les atteintes à ma dignité s'accentuent et créent des clashes répétitifs, jusqu'au 19 février 2018 où elles provoqueront ma tentative de suicide sur le temps et le lieu de travail qui sera suivie d'une plainte auprès de la Gendarmerie pour harcèlement.
Pour dissimuler la responsabilité du groupe, le médecin refusera de faire la déclaration d'imputabilité. Le Commandant demande mon débarquement comme sanction disciplinaire (23 février 2018). Le médecin prépare un dossier pour une commission de réforme sans m'en informer. Alors qu' "Aucune mesure ne peut être prise contre un militaire parce qu'il a engagé une action en justice visant à faire cesser des faits de harcèlement". La mesure de débarquement échouera, mais la commission de réforme, demandée, donnera satisfaction aux harceleurs. Les textes applicables sur les congés de maladie dans le statut des élèves officiers ne permettaient pas cette décision.
Lors de la dernière consultation avec le médecin, je n'avais pas manqué d'enregistrer l'entretien : il y reconnait les faits de harcèlement, que j'en étais responsable par mon refus de démissionner, mais surtout : Alors que je l'informais de signaler, par les médias, s'il y avait lieu, le harcèlement dont j'avais fait l'objet, ce médecin m'a clairement répondu : "je vous engage à ne pas faire ça parce que je pense que c'est mettre en danger votre sécurité. Il y a des gens qui pourraient vous le faire payer".
On se trouve dans une situation, où après avoir dû subir des faits de harcèlement, violents, tant moral que de type sexiste, j'ai eu à subir une décision de réforme agressive de par sa qualification, et de par la violation des règles en la matière. Dans cette volonté de dissimuler des faits de harcèlement ayant mis ma vie en danger, directement et indirectement, s'y ajoute le refus implicite d'une demande de protection fonctionnelle par l'armée.