Ma fille se sent garçon, je suis son papa!!!
Publié : 02 sept. 2022 15:12
Bonjour,
Je suis le papa de deux jeunes filles de 14 et 13 ans.
Il y a quelques temps, notre filles ainée nous a laissé une grande lettre à ma femme et moi-même nous disant que depuis longtemps elle ne se sentait pas bien dans sa peau.
Puis de préciser que depuis un peu plus d'an elle avait enfin compris pourquoi, je la site : "Je suis un garçon dans un corps de fille".
Sur le coup, nous avons plus pensé que c'était une non acceptations de son corps qui a changé tôt et rapidement. Nous pensions bêtement que cela allait passer avec une discussion avec elle.
Mais non, elle nous a avouée qu'elle était en souffrance depuis longtemps, qu'elle ne voulait pas nous en parler de peur de nous décevoir, nous rendre triste ou encore nous déranger.
Je me suis senti tellement nul quand elle nous a dit ça. Comment je n'ai pas vu ou su la souffrance qu'il y avait en elle.
Toutes ces nuits qu'elle a passée à pleurer en se demandant comment on allait le prendre, jusqu'à ce que la douleur soit tellement forte qu'elle c'est senti obligée de nous le dire, mais en l'écrivant de peur de voir de la déception dans nos yeux.
Nous l'avons rassurée du mieux que nous avons pu.
Nous lui avons dit qu'on l'aimais et qu'on l'aimerait toujours.
Peut-être avons nous pas su utiliser les bons mots, ou peut-être a t'elle décelée que nous doutions de ce qu'elle ressentait, mais les jours qui ont suivis cette discussion, je ne l'ai pas sentie rassurer, et de moins en moins à l'aise avec nous. Malgré tout ,elle nous a demandé la permission d'acheter un corset pour masquer sa poitrine.
Etant pris de court, nous lui avons proposé de prendre rendez-vous avec un psychologue avant de prendre quelque décision que ce soit . Chose qu'elle a accepter avec enthousiasme.
Ce rendez-vous était lundi dernier. Je pensais sincèrement que le psy, surtout au bout de sa première séance, allait me dire qu'il faudrait plusieurs séances pour déterminer si oui ou non notre fille était un garçon dans un mauvais corps.
Je fus très surpris qu'au bout d'une heure il donne raison à notre fille/fils.
Ma femme et moi acceptons et comprenons le problème de notre fils.
Quand nous sommes tous les trois nous l'appelons par le prénom qu'il c'est choisi.
Maintenant, il veut, légitimement, l'annoncer à sa sœur et au reste de la famille.
Le psy nous à conseillé d'être à son écoute et d'être là pour l'accompagner et surtout pas essayer de faire des choix pour lui.
Notre problème à ma femme et moi est que nous avons extrêmement peur de la réaction des uns et des autres.
Il a assez souffert comme ça et je ne voudrait pas qu'il se referme à nouveau.
Ha oui, j'ai oublié de dire qu'après sa première séance il se sentait beaucoup mieux avec nous. Il a compris qu'on ne le jugeais aucunement et que notre amour pour lui était sans faille.
J'appréhende tellement le moment ou il va le dire à tout le monde. Comment trouver les bon mot pour notre fille de 13 ans ?
Pour nos parents qui ont passé les 80 ans.
Merci d'avance pour vos retour.
Et courage à toutes et tous.
Un papa très anxieux.
Je suis le papa de deux jeunes filles de 14 et 13 ans.
Il y a quelques temps, notre filles ainée nous a laissé une grande lettre à ma femme et moi-même nous disant que depuis longtemps elle ne se sentait pas bien dans sa peau.
Puis de préciser que depuis un peu plus d'an elle avait enfin compris pourquoi, je la site : "Je suis un garçon dans un corps de fille".
Sur le coup, nous avons plus pensé que c'était une non acceptations de son corps qui a changé tôt et rapidement. Nous pensions bêtement que cela allait passer avec une discussion avec elle.
Mais non, elle nous a avouée qu'elle était en souffrance depuis longtemps, qu'elle ne voulait pas nous en parler de peur de nous décevoir, nous rendre triste ou encore nous déranger.
Je me suis senti tellement nul quand elle nous a dit ça. Comment je n'ai pas vu ou su la souffrance qu'il y avait en elle.
Toutes ces nuits qu'elle a passée à pleurer en se demandant comment on allait le prendre, jusqu'à ce que la douleur soit tellement forte qu'elle c'est senti obligée de nous le dire, mais en l'écrivant de peur de voir de la déception dans nos yeux.
Nous l'avons rassurée du mieux que nous avons pu.
Nous lui avons dit qu'on l'aimais et qu'on l'aimerait toujours.
Peut-être avons nous pas su utiliser les bons mots, ou peut-être a t'elle décelée que nous doutions de ce qu'elle ressentait, mais les jours qui ont suivis cette discussion, je ne l'ai pas sentie rassurer, et de moins en moins à l'aise avec nous. Malgré tout ,elle nous a demandé la permission d'acheter un corset pour masquer sa poitrine.
Etant pris de court, nous lui avons proposé de prendre rendez-vous avec un psychologue avant de prendre quelque décision que ce soit . Chose qu'elle a accepter avec enthousiasme.
Ce rendez-vous était lundi dernier. Je pensais sincèrement que le psy, surtout au bout de sa première séance, allait me dire qu'il faudrait plusieurs séances pour déterminer si oui ou non notre fille était un garçon dans un mauvais corps.
Je fus très surpris qu'au bout d'une heure il donne raison à notre fille/fils.
Ma femme et moi acceptons et comprenons le problème de notre fils.
Quand nous sommes tous les trois nous l'appelons par le prénom qu'il c'est choisi.
Maintenant, il veut, légitimement, l'annoncer à sa sœur et au reste de la famille.
Le psy nous à conseillé d'être à son écoute et d'être là pour l'accompagner et surtout pas essayer de faire des choix pour lui.
Notre problème à ma femme et moi est que nous avons extrêmement peur de la réaction des uns et des autres.
Il a assez souffert comme ça et je ne voudrait pas qu'il se referme à nouveau.
Ha oui, j'ai oublié de dire qu'après sa première séance il se sentait beaucoup mieux avec nous. Il a compris qu'on ne le jugeais aucunement et que notre amour pour lui était sans faille.
J'appréhende tellement le moment ou il va le dire à tout le monde. Comment trouver les bon mot pour notre fille de 13 ans ?
Pour nos parents qui ont passé les 80 ans.
Merci d'avance pour vos retour.
Et courage à toutes et tous.
Un papa très anxieux.